« Moi, Yossel, fils de David Rakover de Tampol, et descendant des justes, sages et vertueux des familles Rakover, j’écris ces lignes dans le ghetto de Varsovie en flammes. »
Willy Brandt exprimant le repentir
« Ma femme a trouvé la mort (…) Deux autres de mes enfants ont disparu sans laisser de traces. Ils s’appelaient David et Yehuda, l’un avait quatre ans, l’autre six. »
Les Polonais honorant les victimes du ghetto
« Dieu a dérobé sa face au monde, et a ainsi livré les hommes à leurs féroces instincts. »
« Notre maison est l’un des derniers bastions de résistance du ghetto. »
« Je suis heureux d’appartenir au peuple le plus malheureux de la terre. »
« Je veux te dire clairement et sans détour. Aujourd’hui plus qu’à n’importe quelle précédente étape de notre interminable martyr, nous avons le droit, nous les torturés, les outragés, les étouffés, les entérrés vivants et brûlés vifs, nous les humiliés, les bafoués, les raillés, les assassinés par millions – nous avons plus que jamais le droit de savoir : où sont les limites de Ta Patience ? »
Le livre : Yossel Rakover s’adresse à Dieu- Zvi Kolitz -Éditions Calmann-Levy