« Nous sommes tous, plus au moins, animés par la quête de l’absolu, de la vérité, de l’éveil, de l’illumination, de la compréhension ultime, etc.
Pour s’apercevoir, au bout du compte (si l’on y arrive), qu’il n’y a rien. « Fondamentalement rien », comme disait le maître ch’an chinois Feng-kan (IXe s.) »
Le livre : L’art de la sieste et de la quiétude - Hervé Collet - Editions Albin Michel
Commentaires
Bonjour Dominique, ce que pense Feng kan est pessimiste mais somme toute plutôt vrai. Bon samedi.
Pour ne pas trop penser à cet inéluctable rien, Viva la siesta ;-))
Oui, mais avant d'arriver au rien, il y a comme le dit si bien le vieux maître à son disciple "des milliers d'instants de grâce" et ce n'est pas rien !!!
Merci Dominique et bon repos
Et2 là, au grand loin de la vie
Là où chacun se prétend
Pour ne pas mourir à genoux
Il n’y a rien
(Luc Baba -la colère est une saison)
Bon, alors je me rendors.